Messe franco-allemande, avec les communes jumelées de Hirschberg, en Allemagne, et Schweighouse, en Alsace.
Par l’abbé Gaël de Breuvand
Il s’agit de la retranscription d’une prédication orale, c’est pourquoi le style reste familier.
Les titres sont ajoutés après retranscription.
La providence et un petit manque d’organisation ont fait que nous avons entendus deux fois la première lecture. C’est donc qu’elle est importante cette première lecture.
Le Seigneur appelle tout le monde, chacun de nous, à monter à sa montagne pour partager un grand banquet, un grand repas. Toutes, toutes les nations ! Et ce grand repas, ce banquet, ce sera l’occasion de voir disparaître les voiles de deuil, faire disparaître la mort, faire disparaître la souffrance, faire disparaître les larmes. Voilà. Le Seigneur se présente à nous, comme le consolateur !
Et Jésus, dans l’évangile, reprend cette idée d’un festin, d’un banquet, et Il nous donne cette parabole. Vous savez, une parabole, c’est une histoire que Jésus raconte, qui est une histoire inventée et qui veut nous dire quelque chose sur Dieu et sur nous-mêmes. C’est aussi une histoire qui veut aussi nous secouer – qui nous dérange ! Et quand on reprend cette parabole, – oui ! -, elle nous dérange.
Un roi appelle des invités à la noce. S’est-on posé la question… de la noce de qui ? Le fils du roi, oui ! Mais il se marie avec qui ? Avec qui fait-il alliance ? Si je vous pose la question, c’est qu’en fait, il ne faut peut-être pas chercher très loin. Il veut faire alliance avec chacun de nous. Il veut faire alliance avec son peuple. Il veut faire alliance, comme dans un mariage, afin de donner la joie et le bonheur à l’autre. NOUS donner la joie et le bonheur. Et lorsqu’il invite ses amis à cette noce, et qu’ils refusent… Qu’ils se disent : ‘non. Je suis trop occupé. Vous comprenez, hein… Oui, oui, le roi, je le connais, je l’aime bien d ‘ailleurs… Mais le dimanche matin, vers 10h… pfff… y’a… J’ai autre chose à faire !’… Quelle déception.
Parce que peut-être que ces invités se sont posés la question dans le mauvais sens.
Nous sommes invités, dès aujourd’hui, à venir rencontrer notre roi, à venir rencontrer notre époux, lors de cette noce. Mais pourquoi venons-nous ? Parfois on pense que c’est d’abord pour nous. Alors effectivement, dans un ordre de priorité, y a peut-être d’autres choses qui vont passer avant. En réalité, ce que Jésus nous dit, – là ! -, c’est que lorsque nous sommes invités, – et je pense que vous le savez bien -, lorsque nous sommes invités, nous venons d’abord pour celui qui nous invite.
Lorsque Brignais invite Hirschberg, Schweighouse à venir, Hirschberg et Schweighouse viennent d’abord parce que Brignais les invite. C’est aussi l’occasion d’une joie évidement. C’est aussi l’occasion d’une fête. Pour tous ! Et tout le monde va en profiter. Mais le premier mouvement, c’est parce que l’autre nous invite.
Alors à cette invitation, je n’y vais pas seulement pour celui qui m’invite, mais pour ceux qui seront là, à cette occasion. Je viens pour les autres. Et ça, c’est vrai à un mariage, et c’est vrai à toutes les fêtes, et c’est vrai aussi aux rendez-vous que nous donne le bon Dieu.
Et enfin, – et ce n’est pas négligeable -, on ne peut pas dire que ça ne compte pas, je viens bien évidemment aussi pour moi. Mais cela ne vient qu’en troisième.
Qu’est-ce qui prime ? Peut-être que nous pouvons nous poser cette question, tous, chacun. C’est vrai pour la messe du dimanche, mais pas seulement. C’est aussi vrai pour la prière du matin, la prière du soir. C’est aussi vrai pour tous les rendez-vous que nous pouvons avoir avec le Seigneur et qu’Il nous donne.
III. Un vêtement de noce semble exigé… Quel est-il ?
Et puis, dans cette parabole, il y a une deuxième histoire. Puisque le Seigneur a décidé d’ouvrir son invitation à tous, sans exception aucune, et qu’Il fait chercher ses invités, – là !-. Il les invite, et ceux-là viennent. Et comme Il est un bon maître, il sait bien que quand on interpelle quelqu’un dans la rue, à la croisée des chemins, pauvre ou riche, méchant ou bon, les gens viennent tels qu’ils sont. Et nous venons, tous. Nous sommes invités, tous, tels que nous sommes. Et le Seigneur nous propose un habit de fête. Il veut nous vêtir d’un vêtement glorieux, d’un vêtement de joie. Alors, on s’est beaucoup posé, – dès les premiers siècles de l’Église -, on s’est beaucoup posé la question : ‘quel est ce vêtement de joie ? ‘. Alors, certains, – et là je reprends largement, paraphrase saint Augustin -, certains se sont dits, c’est le baptême. Mais on sait bien que le baptême, comme vêtement de joie, s’en est un. Pour autant, on peut être baptisé et vivre comme si Dieu n’existait pas. On peut vivre de façon absolument pas remarquable, voire même pire. On le sait bien. Et à l’inverse, on connaît des non-baptisés qui vivent dans une vraie amitié avec Dieu.
Alors d’autres se sont dit : ‘si le baptême ne suffit pas, peut-être que c’est la communion eucharistique. C’est ça le vêtement de noce dont le Seigneur veut nous revêtir’. Et là, pourtant, on sait là aussi que certains d’entre nous communient, mais n’en sont pas dignes et ne changent pas de vie. Et donc, non, ce n’est pas ça le vêtement de fête.
D’autre se sont dits : ‘bah, ça peut être le jeune ou l’aumône. Quelques gestes d’exercices un peu sportifs pour nous’. Et là, on a écarté cette question évidemment.
Non, le vêtement de noce dont Dieu veut nous revêtir, c’est Son Amour à Lui. Il veut nous combler de Son Amour. Et nous comblant de Son Amour, ça se traduira, pour nous, en actes. Évidemment. Lorsqu’on reçoit l’Amour de Dieu dans nos vies, ça déborde de nous. Cet Amour de Dieu, cette charité qui se traduit concrètement, elle nous est donnée comme un cadeau. C’est d’ailleurs très intéressant de voir cette rencontre : le roi entra pour examiner les convives et là, il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce. Il ne portait pas cette charité, cet Amour que Dieu voulait lui donner. ‘Mon ami, comment es-tu entré sans vêtement de noce ?’. Et cet homme, qui vient d’être appelé ‘mon ami’ se tait. Il refuse d’entrer en relation. Il se tait. Il aurait pu, là encore, le Seigneur venait de l’appeler ‘son ami’, il aurait pu, là encore, tisser la relation. Eh non, il s’y refuse.
Alors la chose la plus dérangeante que l’on entend dans cet évangile, ce sont les conséquences des actes posés par les hommes. Les invités d’abord : ‘le roi se mit en colère, envoya des troupes, fit périr les meurtriers, incendia leur ville’. Ou bien encore, « le roi dit aux serviteurs : ‘jetez-le pieds et poings liés dans les ténèbres du dehors. Là il y aura des pleurs et des grincements de dents’ ».
Ces paroles-là, elles sont données par Jésus, d’abord et avant tout pour nous secouer. Pour nous dire : ‘réveillez-vous. Vos actes, vos pensées, votre vie a des conséquences. Cela peut porter du fruit, quand vous êtes en relation, quand vous accueillez l’Amour de Dieu dans vos vies, quand vous acceptez cette union, cette alliance, ce mariage, avec le fils du roi. Cela a des conséquences aussi, lorsque vous vous y refusez’. Alors nous savons bien, – parce que la Bible n’est pas qu’un texte -, nous savons bien que l’Amour de Dieu, il est gratuit, il est sans condition, il se donne toujours. Et nous savons aussi que Dieu nous aime à un point qu’Il nous a donné la capacité de l’accueillir, – cet Amour ! -, ou de ne pas l’accueillir. Parce que si on était forcé de l’accueillir, on serait non pas comme des amoureux, mais plutôt comme des drogués, comme des ‘addicts’. Alors, puisque nous ne sommes pas des ‘addicts’, comme nous ne sommes pas des drogués de l’Amour de Dieu, nous pouvons, – nous avons le choix -, nous pouvons L’accueillir ou le refuser. Mais lorsque nous le refusons, alors que Cet Amour de Dieu se donne, nous nous retrouvons isolé, seul, et ça, c’est exactement la description de l’enfer. Solitude, isolement, enfermement. Alors ce n’est pas Dieu qui nous dit : ‘va-t’en’. C’est nous, qui nous refusons à entrer dans la vraie relation avec Lui. Dans la vraie relation qui nous donne joie et paix. Dans la vraie relation pour laquelle nous sommes faits ; nous sommes faits pour être unis à Dieu.
Je vais conclure avec un petit mot sur cette amitié qui existe entre Schweighouse, Hirschberg, Brignais et Ponsacco. Une amitié, qui, d’une certaine manière, est un témoignage de l’Amour de Dieu pour les hommes ; une amitié qui dégage… ou dont les conséquences sont paix et joie et calme, sérénité. Et là, je cite saint Paul, librement. Une amitié qui est un témoignage aussi des fruits que portent l’Amour de Dieu quand on l’accueille dans nos vies. Une amitié dont nous savons combien nous en avons besoin, aujourd’hui, dans un monde que nous savons compliqué. Alors, oui, accrochons-nous à ces liens qui nous unissent, parce qu’ils sont d’une certaine manière, reflets de l’Amour de Dieu Lui-même.
Par l’abbé Gaël de Breuvand
Il s’agit de la retranscription d’une prédication orale, c’est pourquoi le style reste familier.
Les titres sont ajoutés après retranscription.
La providence et un petit manque d’organisation ont fait que nous avons entendus deux fois la première lecture. C’est donc qu’elle est importante cette première lecture.
Le Seigneur appelle tout le monde, chacun de nous, à monter à sa montagne pour partager un grand banquet, un grand repas. Toutes, toutes les nations ! Et ce grand repas, ce banquet, ce sera l’occasion de voir disparaître les voiles de deuil, faire disparaître la mort, faire disparaître la souffrance, faire disparaître les larmes. Voilà. Le Seigneur se présente à nous, comme le consolateur !
Et Jésus, dans l’évangile, reprend cette idée d’un festin, d’un banquet, et Il nous donne cette parabole. Vous savez, une parabole, c’est une histoire que Jésus raconte, qui est une histoire inventée et qui veut nous dire quelque chose sur Dieu et sur nous-mêmes. C’est aussi une histoire qui veut aussi nous secouer – qui nous dérange ! Et quand on reprend cette parabole, – oui ! -, elle nous dérange.
Un roi appelle des invités à la noce. S’est-on posé la question… de la noce de qui ? Le fils du roi, oui ! Mais il se marie avec qui ? Avec qui fait-il alliance ? Si je vous pose la question, c’est qu’en fait, il ne faut peut-être pas chercher très loin. Il veut faire alliance avec chacun de nous. Il veut faire alliance avec son peuple. Il veut faire alliance, comme dans un mariage, afin de donner la joie et le bonheur à l’autre. NOUS donner la joie et le bonheur. Et lorsqu’il invite ses amis à cette noce, et qu’ils refusent… Qu’ils se disent : ‘non. Je suis trop occupé. Vous comprenez, hein… Oui, oui, le roi, je le connais, je l’aime bien d ‘ailleurs… Mais le dimanche matin, vers 10h… pfff… y’a… J’ai autre chose à faire !’… Quelle déception.
Parce que peut-être que ces invités se sont posés la question dans le mauvais sens.
Nous sommes invités, dès aujourd’hui, à venir rencontrer notre roi, à venir rencontrer notre époux, lors de cette noce. Mais pourquoi venons-nous ? Parfois on pense que c’est d’abord pour nous. Alors effectivement, dans un ordre de priorité, y a peut-être d’autres choses qui vont passer avant. En réalité, ce que Jésus nous dit, – là ! -, c’est que lorsque nous sommes invités, – et je pense que vous le savez bien -, lorsque nous sommes invités, nous venons d’abord pour celui qui nous invite.
Lorsque Brignais invite Hirschberg, Schweighouse à venir, Hirschberg et Schweighouse viennent d’abord parce que Brignais les invite. C’est aussi l’occasion d’une joie évidement. C’est aussi l’occasion d’une fête. Pour tous ! Et tout le monde va en profiter. Mais le premier mouvement, c’est parce que l’autre nous invite.
Alors à cette invitation, je n’y vais pas seulement pour celui qui m’invite, mais pour ceux qui seront là, à cette occasion. Je viens pour les autres. Et ça, c’est vrai à un mariage, et c’est vrai à toutes les fêtes, et c’est vrai aussi aux rendez-vous que nous donne le bon Dieu.
Et enfin, – et ce n’est pas négligeable -, on ne peut pas dire que ça ne compte pas, je viens bien évidemment aussi pour moi. Mais cela ne vient qu’en troisième.
Qu’est-ce qui prime ? Peut-être que nous pouvons nous poser cette question, tous, chacun. C’est vrai pour la messe du dimanche, mais pas seulement. C’est aussi vrai pour la prière du matin, la prière du soir. C’est aussi vrai pour tous les rendez-vous que nous pouvons avoir avec le Seigneur et qu’Il nous donne.
III. Un vêtement de noce semble exigé… Quel est-il ?
Et puis, dans cette parabole, il y a une deuxième histoire. Puisque le Seigneur a décidé d’ouvrir son invitation à tous, sans exception aucune, et qu’Il fait chercher ses invités, – là !-. Il les invite, et ceux-là viennent. Et comme Il est un bon maître, il sait bien que quand on interpelle quelqu’un dans la rue, à la croisée des chemins, pauvre ou riche, méchant ou bon, les gens viennent tels qu’ils sont. Et nous venons, tous. Nous sommes invités, tous, tels que nous sommes. Et le Seigneur nous propose un habit de fête. Il veut nous vêtir d’un vêtement glorieux, d’un vêtement de joie. Alors, on s’est beaucoup posé, – dès les premiers siècles de l’Église -, on s’est beaucoup posé la question : ‘quel est ce vêtement de joie ? ‘. Alors, certains, – et là je reprends largement, paraphrase saint Augustin -, certains se sont dits, c’est le baptême. Mais on sait bien que le baptême, comme vêtement de joie, s’en est un. Pour autant, on peut être baptisé et vivre comme si Dieu n’existait pas. On peut vivre de façon absolument pas remarquable, voire même pire. On le sait bien. Et à l’inverse, on connaît des non-baptisés qui vivent dans une vraie amitié avec Dieu.
Alors d’autres se sont dit : ‘si le baptême ne suffit pas, peut-être que c’est la communion eucharistique. C’est ça le vêtement de noce dont le Seigneur veut nous revêtir’. Et là, pourtant, on sait là aussi que certains d’entre nous communient, mais n’en sont pas dignes et ne changent pas de vie. Et donc, non, ce n’est pas ça le vêtement de fête.
D’autre se sont dits : ‘bah, ça peut être le jeune ou l’aumône. Quelques gestes d’exercices un peu sportifs pour nous’. Et là, on a écarté cette question évidemment.
Non, le vêtement de noce dont Dieu veut nous revêtir, c’est Son Amour à Lui. Il veut nous combler de Son Amour. Et nous comblant de Son Amour, ça se traduira, pour nous, en actes. Évidemment. Lorsqu’on reçoit l’Amour de Dieu dans nos vies, ça déborde de nous. Cet Amour de Dieu, cette charité qui se traduit concrètement, elle nous est donnée comme un cadeau. C’est d’ailleurs très intéressant de voir cette rencontre : le roi entra pour examiner les convives et là, il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce. Il ne portait pas cette charité, cet Amour que Dieu voulait lui donner. ‘Mon ami, comment es-tu entré sans vêtement de noce ?’. Et cet homme, qui vient d’être appelé ‘mon ami’ se tait. Il refuse d’entrer en relation. Il se tait. Il aurait pu, là encore, le Seigneur venait de l’appeler ‘son ami’, il aurait pu, là encore, tisser la relation. Eh non, il s’y refuse.
Alors la chose la plus dérangeante que l’on entend dans cet évangile, ce sont les conséquences des actes posés par les hommes. Les invités d’abord : ‘le roi se mit en colère, envoya des troupes, fit périr les meurtriers, incendia leur ville’. Ou bien encore, « le roi dit aux serviteurs : ‘jetez-le pieds et poings liés dans les ténèbres du dehors. Là il y aura des pleurs et des grincements de dents’ ».
Ces paroles-là, elles sont données par Jésus, d’abord et avant tout pour nous secouer. Pour nous dire : ‘réveillez-vous. Vos actes, vos pensées, votre vie a des conséquences. Cela peut porter du fruit, quand vous êtes en relation, quand vous accueillez l’Amour de Dieu dans vos vies, quand vous acceptez cette union, cette alliance, ce mariage, avec le fils du roi. Cela a des conséquences aussi, lorsque vous vous y refusez’. Alors nous savons bien, – parce que la Bible n’est pas qu’un texte -, nous savons bien que l’Amour de Dieu, il est gratuit, il est sans condition, il se donne toujours. Et nous savons aussi que Dieu nous aime à un point qu’Il nous a donné la capacité de l’accueillir, – cet Amour ! -, ou de ne pas l’accueillir. Parce que si on était forcé de l’accueillir, on serait non pas comme des amoureux, mais plutôt comme des drogués, comme des ‘addicts’. Alors, puisque nous ne sommes pas des ‘addicts’, comme nous ne sommes pas des drogués de l’Amour de Dieu, nous pouvons, – nous avons le choix -, nous pouvons L’accueillir ou le refuser. Mais lorsque nous le refusons, alors que Cet Amour de Dieu se donne, nous nous retrouvons isolé, seul, et ça, c’est exactement la description de l’enfer. Solitude, isolement, enfermement. Alors ce n’est pas Dieu qui nous dit : ‘va-t’en’. C’est nous, qui nous refusons à entrer dans la vraie relation avec Lui. Dans la vraie relation qui nous donne joie et paix. Dans la vraie relation pour laquelle nous sommes faits ; nous sommes faits pour être unis à Dieu.
Je vais conclure avec un petit mot sur cette amitié qui existe entre Schweighouse, Hirschberg, Brignais et Ponsacco. Une amitié, qui, d’une certaine manière, est un témoignage de l’Amour de Dieu pour les hommes ; une amitié qui dégage… ou dont les conséquences sont paix et joie et calme, sérénité. Et là, je cite saint Paul, librement. Une amitié qui est un témoignage aussi des fruits que portent l’Amour de Dieu quand on l’accueille dans nos vies. Une amitié dont nous savons combien nous en avons besoin, aujourd’hui, dans un monde que nous savons compliqué. Alors, oui, accrochons-nous à ces liens qui nous unissent, parce qu’ils sont d’une certaine manière, reflets de l’Amour de Dieu Lui-même.